Le pape François a été inhumé le samedi 26 avril 2025 à la Basilique Sainte-Marie-Majeure à Rome en Italie. Une nouvelle aire s'ouvre pour l'église catholique, qui devra dans les prochains jours désigner son successeur à l'issue d'un vote des cardinaux.

Mais, au regard des nombreux scandales sexuels qui minent l'église catholique notamment les viols, les agressions sexuelles sur mineurs, la pédophilie et l' homosexualité, le prochain pape sera très attendu par la communauté chrétienne et le reste du monde.
D'autant plus que son prédécesseur s'est illustré de façon gauche en approuvant les mariages homosexuels.

Des pratiques qui selon certaines sources, sont à l'origine du départ en 2013 du pape Benoît XVI à la tête de l'église catholique.
En 2021, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église (Ciase) a publié un rapport indiquant que 330 mille personnes ont subi des agressions sexuels au sein de l'Eglise lorsqu'elles étaient mineurs.

Il y a quelques jours, une révélation fracassante de Hélène Perlant, la fille du premier ministre français François Bahirou sur un média, a fait ressurgir l'affaire "Betharram" vieille de 27 ans, dans laquelle des jeunes filles dont celle de Bahirou ont subi des agressions sexuelles au sein d'un établissement catholique de France.

Si de telles pratiques immorales prospèrent au sein de cette institution religieuse censée sauver les âmes perdues, le mariage des prêtres en lieu et place du voeu de chasteté, pourrait être la solution pour y mettre fin et redorrer ainsi l'image terni de l'église catholique.

Le prochain pape va-t-il s'inscrire dans la continuité de son dévancier ou changer la donne ? En tout cas, des réformes plus saines et des décisions courageuses devront être prises par le nouveau souverain pontif, pour faire face à l'héritage fragile laissé par son prédécesseur. Mais aussi, aux pressions internes dont il fera certainement l'objet de la part des puissants adeptes de ces pratiques sataniques.